Dans la nuit, ombre lumière et illusion...

"Assis, ici et là, présent, absent, questionnement, ombre, silhouette,
fabriqué à la cendrée des toxiques pollués, damnés du monde en T,
tu te mets les poings sur les hi, han, toi le bizarre errant, lancinant...
tu vogues en naguère, la bande houlière à l'envers, allant vers, en vers
Baudelaire en fourmi ouvrière, on s'en fout,
y a pas de raison pour un bouffe On.
je me pose la question : point d'inter Ô gaz ions, ???
molécules en partition, je particule l'émotion, motion interrogation;
puis-je avoir con fiant ceux, en qui je confie mon enfance, mon innocence ?
qui sait ? peut-être un tour damé au bitume gigot cointreau,
je me ferais cuire ce qu'il me reste de beau...
affamés des cocottes en papier,
je me dore la pilule nigot naif, croyant trop, suis je in-ô-sang ?
sais pas, dois-je croire aux mots, maux souffrés, paravents
employés des justifiants, tous les comportements
absent de ce jeu mensonger, de soie, de soi,
suis je à ce point trop in-croyant,
maslow joue ses pulsions, joue du pipeau,
les pierres sont dans le ruisseau, dévie le cours d'eau,
le plumage est une image et le ramage un Caravage,
suis je une question, une énigme, un ment son jeu,
une vérité, doux feutré, fumée en guirlande, je scrute les oracles
peut-etre un miracle, doux et d'aout, doutes et route,
root tel un login, j'administre ma turbine, je klaxonne mes neurones,
ma sensible en corde vibre aphone, dois je croire en automne ?
Dois-je croire en abscisse, en coordonnées, en hordes données
je sortirai mon mégaphone, la bombe humaine, je la ferai sauter
en hygiaphone, je me questionne, je garde le cap avec mon trombone,
le téléphone sonne, la voix résonne, j'entends le son et me questionne,
le sens est-il sang-cible ? je donne la lent-gueux au chat, artiste du semblant,
qui ferait croire un A ---- T, moi je m'en fous je suis né en I---TI :-)"
'Mica d'été, mute-ans, dort et faut pas que je m'éveille...'